Les couples de femmes françaises qui souhaitent effectuer un acte de reconnaissance anticipée de filiation à l’étranger pour leur enfant à naître rencontrent de nombreuses difficultés.
En effet, elles doivent aujourd’hui se rendre en France pour effectuer ce simple acte notarié, une exigence qui engendre une perte de temps et d’argent considérables, notamment pour les Françaises vivant à l’étranger dans un pays éloigné de la France.
Il faut permettre aux Françaises vivant à l’étranger d’effectuer cette démarche auprès des services d’Etat-civil de nos consulats, ou par voie électronique auprès d’un ou d’une notaire assermentée en France. C’est le sens de ma question adressée au ministre Olivier Becht ; je vous tiendrai au courant de sa réponse !