Près d’une centaine de personnes ont assisté, en ligne ou au Sénat, au séminaire que j’ai organisé le 16 octobre dernier sur les conditions de travail des journalistes à l’étranger. Ces quelque 400 Françaises et Français de l’étranger, qui sont nos yeux et nos oreilles sur le monde, exercent leur métier dans des conditions de plus en plus difficiles, notamment en matière de soins et de protection sociale.

Je tiens à remercier toutes les intervenantes et tous les intervenants pour la qualité de ces échanges, qui ont permis de mieux comprendre les conditions, parfois terrifiantes, dans lesquelles s’exercent la pratique du métier de journaliste à l’étranger. Ce séminaire a également permis d’identifier des pistes concrètes afin d’améliorer ces conditions de travail, et je remercie Maîtres Kessler, Roumier et Soulard pour leurs réflexions et leurs travaux.

A la suite de ce séminaire, je vais désormais étudier quelles sont les options législatives possibles et je ne manquerai pas de revenir vers les représentant·es de la profession pour avoir leurs retours afin d’obtenir, le plus rapidement possible, des améliorations sur les conditions de travail des correspondant·es à l’étranger.